Netanyahu pourrait mener une guerre contre le Hezbollah pour un gain politique

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Les responsables de la Maison Blanche craignent que le Premier ministre Benjamin Netanyahu puisse lancer une guerre totale contre le groupe terroriste du Hezbollah au Liban afin de sauver sa propre carrière politique, selon un rapport publié dimanche. « Si la guerre à Gaza se termine demain, la carrière politique de Netanyahu s’arrêtera avec elle, ce qui l’incitera à élargir le conflit », ont déclaré des responsables américains anonymes au Washington Post. Netanyahu a fortement chuté dans les sondages d’opinion depuis le début de la guerre avec le Hamas, l’opinion publique lui attribuant manifestement une part importante de la responsabilité des échecs qui ont permis les massacres du groupe terroriste du 7 octobre. Les responsables de la Maison Blanche craignent que le Premier ministre Benjamin Netanyahu puisse lancer une guerre totale contre le groupe terroriste du Hezbollah au Liban afin de sauver sa propre carrière politique, selon un rapport publié dimanche. « Si la guerre à Gaza se termine demain, la carrière politique de Netanyahu s’arrêtera avec elle, ce qui l’incitera à élargir le conflit », ont déclaré des responsables américains anonymes au Washington Post. Netanyahu a fortement chuté dans les sondages d’opinion depuis le début de la guerre avec le Hamas, l’opinion publique lui attribuant manifestement une part…   importante de la responsabilité des échecs qui ont permis les massacres du groupe terroriste du 7 octobre. 03:2604:16 « Le Premier ministre continuera à prendre les mesures nécessaires pour sécuriser Israël et son avenir », a répondu un haut responsable du gouvernement israélien au média américain lorsqu’on lui a demandé si les calculs politiques de Netanyahu dictaient ses décisions militaires. Plusieurs hauts dirigeants israéliens ont déclaré à plusieurs reprises que le Hezbollah devait être chassé de la frontière israélo-libanaise, conformément à la résolution 1701 du Conseil de sécurité de l’ONU de 2006, jurant que si cela n’était pas réalisé par la diplomatie, cela se ferait militairement.